Quand tout s’accélère : le choix d’Alexandre Il avait incomparablement aimé tout maîtriser. Alexandre, 45 ans, plafond dans une grande enseigne de logistique, organisait l'existence par exemple il organisait ses textes : sans place pour l’approximation. Tout était planifié, rationalisé, abordé. Pourtant, ce mercredi-là, il s’est se
Quand tout s’accélère : la sélection d’Alexandre Il avait nettement aimé tout maîtriser. Alexandre, 45 ans, borne dans une large entreprise de logistique, organisait la réalité par exemple il organisait ses dossiers : sans place pour l’approximation. Tout était planifié, rationalisé, maîtrisé. Pourtant, ce mercredi-là, il s’est
Quand tout s’accélère : le choix d’Alexandre Il avait incomparablement aimé tout gérer. Alexandre, 45 ans, borne dans une large société de logistique, organisait la vie comme il organisait ses textes : sans place pour l’approximation. Tout était planifié, rationalisé, considéré. Pourtant, ce mercredi-là, il s’est senti submergé
Michel était resté silencieux une opportunité. Ce n’était pas de la culpabilité qu’il ressentait. C’était de façon identique à un fil qu’on avait tiré, en dernier lieu, et qui reliait les fragments d’un casse-tête beaucoup longtemps dispersé. La voyance immédiate, pour lui, n’avait rien d’ésotérique. C’était un miroir